Comme pour mettre les choses à plat, nous nous retrouvons au franchissement de la Loire, à Coubon (640m). Nous ne la reverrons plus et nous aurons bien de la peine à déterminer quelle en est la « vraie » source. D'où le prudent « les sources »…
On l'a bien compris hier, quand on quitte la cuvette du Puy en Velay c'est l'ascension garantie. Ici le rebord n'est jamais très escarpé (sauf au début) mais il s'étale sur quarante bornes. Paula mène le bal des petits braquets.
N'épiloguons pas sur les risques d'un voyage en groupe : des couples se forment parfois. Ici tout se déforme.
Puis, toujours pour boire avant d'avoir soif, on retrouve ses vieilles habitudes…
De son propre aveu la patronne du troquet n'avait jamais tant débité de mousse que durant la 1/2h de notre passage.
Nous profitons donc de sa belle et bonne terrasse, mais nous déjeunerons ailleurs (à l'Auberge des 3 Monts, sur la place voisine) car son service nous paraît … un peu lent.
Pendant que certains vont tournicoter sur place, d'autres filent pour un aller et retour de 24 km, avant midi, jusqu'au Gerbier de Jonc. Derrière eux Les Estables.
Le tandem vise son record d'altitude : fameuse motivation.
Et cela le tonifie au point d'être le premier à photographier le Gerbier de Jonc. En roulant, svp.
Au sommet que nous retrouvons Christian et Jean Pierre qui avait fait un détour par le Lac d'Issarlès, histoire d'enrichir leur collection de BCN/BPF (6 sites par département).
La randonnée se poursuit en côtoyant de nombreux sucs : des mamelons hérités de la très ancienne activité volcanique.
Il faut s'arrêter (pas forcément y résider) à Chaudeyrolles. A notre arrivée l'activité y battait son plein. Voyage aller.
Au moment de notre départ l'activité n'y était pas moins intense. Voyage retour.
Au risque de choquer les Ponots et les Ponotes (habitant(e)s du Puy en Velay), le caractère tranquille des gens de Chaudeyrolles nous a paru à l'image de tous les Alti-Ligériens rencontrés. Ils sont « cools », non ?
Ce qui n'est pas du goût de Jackie. Il ne cache pas sa hâte de descendre au Puy.
Vous devinez certainement pourquoi …
Sinon revisitez le final du précédent reportage… Il pense à Maryvonne TamTam.
Marraine Mathilde ne veut pas voir cela. Elle préfère se réfugier sous la coquille.
Voilà la photo, au départ du chemin de Saint Jacques, promise aux lecteurs du Nord-Eclair.
Mais, ne rêvons pas, ce n'est pas elle qui part vers Compostelle, bâton en main, bagage sur le dos et coquille en pendentif. Ce sont des « pélerines »…
DES AUDAX TOURNAI AUTOUR DU PUY EN VELAY (2 e Partie)
Voyage volcanique dans le Midi de l’Auvergne : étape 2 vers le Mézenc
Après l’étape vers les Gorges de l’Allier (à l’ouest), l’idée était de partir vers l’est pour visiter les hauts plateaux du Mézenc (avec son mont qui culmine à 1753m, pour les piétons). Avec un crochet au Gerbier de Jonc (1551m).
![]() |
|
---|---|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
L'ivresse des sommets ? |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
Le plateau et le mont de Mézenc |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
Qui rêverait de la rude vie rurale des hauts plateaux ? |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
Les arrières pensées sur le chemin de retour. |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
![]() |
|
Ainsi se termine la 2 e étape. Pas si périlleuse que redoutée, mais on se fait du souci avec Jackie. Pour connaître la suite de nos (bonnes) aventures, visitez les deux reportages qui suivent. |
|
Haut de page |